Des Pèlerins d’Arès de Bretagne

La Révélation d’Arès n’est pas un livre difficile, mais il a émergé profond en des temps superficiels où l’homme abrège tout, même le souci de son propre destin... Ce livre n’est pas "intéressant" au sens de "plaisant," parce qu’il fait sans cesse réfléchir, mais par là il redonne à l’homme le goût de la profondeur (1).

 

La lecture de La Révélation d’Arès demande un certain investissement personnel pour la comprendre. Son témoin, Michel Potay, appelé Frère Michel, recommande de lire La Révélation d’Arès d’une traite au moins trois fois avant d’en commencer l’étude. Il ajoute : « Vous la lirez toute votre vie. Tous les jours vous en lirez une partie, petite ou grande. Pour ma part je l’ai lue des milliers de fois et aujourd’hui encore, après quarante deux ans, j’apprends des choses nouvelles de cette lecture. »

Le lecteur attentif comprend que la solution est en soi — vaincre le péché contre l’amour — se reconstruire en bien, en amour, en intelligence et changer ce monde « Car la Vérité c’est que le monde doit changer 28/7 ».

 

La religion a réduit la foi à un credo et désappris l’homme à penser et à décider de son destin. La vraie foi s’enracine dans le Bien accompli, l’amour et l’intelligence que nous appelons vie spirituelle. Non dogmatique ni cultuelle mais évolutive, créatrice et libre, toujours en mouvement, la foi du pèlerin d’Arès vise l’utopie d’un monde changé pour le bonheur de tous, sans idéologie, ni chef.

 

L’article Nous croyons nous ne croyons pas  a été rédigé par le frère Michel dans les années 1990-1991 pendant une maladie d’issue incertaine. Il a voulu laisser à ses frères ce qu’il appela une « direction de certitude ». Nous avons choisi d’enrichir Nous croyons, nous ne croyons pas de quelques références à la Révélation d’Arès et aussi d’extraits de michelpotayblog, blog du témoin traitant de multiples sujets en lien avec notre réalité.

 

Nous croyons, nous ne croyons pas est un pense-bête pour aider le découvreur dans sa compréhension du message. Il ne remplace en rien la Parole de Dieu.

 

 

(1) « Quand l’existentiel déferle » michelpotayblog

 

 

 

 

 

 

Phare, Mer, Lumière, Plage, Paysage

« Nous croyons, nous ne croyons pas »